Les couleurs de l’automne arrivent !
Bonjour à tous,
Comment ça va ? Si la réponse est mitigée, cet article devrait vous requinquer ! Des couleurs vives, des fleurs et des paysages constituent ce nouveau post de début d’automne. C’est le troisième pêle-mêle photographique que je fais cette année. Celui-ci a deux tendances : la couleur rouge et les cosmos. Une plante annuelle pleine de charme, qui fait danser ses fleurs légères en forme de marguerite au sommet de fines tiges élancées. Bien sûr, une fois passées entre mes mains, ces fleurs ne ressemblent peut-être plus tout à fait aux cosmos que vous avez dans votre jardin.
J’ai aussi inclus dans cette page, quelques photos de paysages d’automne. Pas trop en fait, car nous sommes encore au tout début. L’article de novembre sera nettement plus chargé et pour ne pas oublier de passer sur le blog, c’est le bon moment pour s’inscrire à la newsletter !
Bonne balade !
Les fleurs cosmos symbolisent le plus souvent l’ordre et l’harmonie.
Cette première signification symbolique des fleurs de cosmos provient du nom de la fleur et de la disposition ordonnée de ses pétales. Les fleurs de cosmos peuvent également représenter l’équilibre, la tranquillité, la paix, l’amour, la modestie, l’innocence, la joie et la beauté. La fleur du cosmos porte aussi un symbolisme de paix et de sérénité. Sa présence douce et apaisante peut évoquer un sentiment de calme et de tranquillité. Dans la culture japonaise, la fleur du cosmos est associée à l’automne et est souvent considérée comme une représentation du changement des saisons, nous rappelant la nature cyclique de la vie. La vue des fleurs du cosmos se balançant dans la brise peut apporter un sentiment de paix et d’harmonie intérieures.
Harmonie et équilibre
La fleur du cosmos symbolise l’harmonie et l’équilibre, à la fois dans son apparence physique et dans sa signification profonde. Les pétales parfaitement alignés et la structure symétrique de la fleur reflètent l’importance de l’équilibre dans la vie.
Cela nous rappelle de trouver l’harmonie en nous-mêmes et avec le monde qui nous entoure.
La capacité de la fleur du cosmos à prospérer dans divers environnements et à s’adapter à différentes conditions de croissance souligne encore davantage son symbolisme d’équilibre et de résilience.
Dans la mythologie grecque antique, la fleur du cosmos était associée à la déesse Aphrodite, déesse de l’amour, de la beauté et du désir. Selon le mythe, lorsque Aphrodite est née de l’écume marine, les pétales de la fleur du cosmos ont fleuri et se sont dispersés sur la terre. Cette connexion avec Aphrodite a donné à la fleur du cosmos un symbolisme d’amour et d’affection. On croyait que la fleur du cosmos possédait le pouvoir d’apporter l’amour et la passion dans la vie des gens.

LA SATISFACTION CRÉATIVE
« consiste à créer l’extraordinaire à partir de l’ordinaire »
L'AUTOMNE
La beauté de l’automne est un poème écrit par la nature.
Charles Baudelaire
La minute à Maddy.
Elle vous a manqué le mois dernier, alors à la demande générale…
J’ai attendu toute ma vie cette mise à jour Photoshop !
Depuis cet été, dans la version 17.5 de Camera Raw, nous avons un outil pour supprimer les poussières et les traces du capteur sur les images. On a tous des traces sur nos capteurs numériques. La poussière s’infiltre par les moindres interstices du boîtier, sans parler des changements d’objectifs, parfois dans des conditions de vent, sable… J’en ai passé du temps avec l’outil pansement à chasser toutes ces maudites traces. Et bien, c’est terminé ! Ce nouvel outil nous fait gagner un temps considérable. Il est efficace à 98 % et fonctionne en quelques secondes. Il aurait été dommage que cette mise à jour passe inaperçue !
Depuis 2019, l’école est obligatoire à partir de trois ans.
Vous souveniez-vous de la date de passage de cette loi ? 2019 ? Perso, je trouve que c’est beaucoup trop tôt. Pensez à la Suède, école obligatoire à partir de sept ans ! Ils ont dû faire adopter cette loi la nuit pendant les vacances. Christine m’a partagé ce magnifique texte que je vous encourage à lire. Tendre, fort et en même temps tellement triste…
J'ai 3 ans et je suis grande !
J’ai 3 ans je suis grande, je vais à l’école, maman et papa travaillent, je me lève à 6h30 ! J’avale mon bibi en 5 mn et peut-être un biscuit…
Maman m’habille -ou Papa- et je mets mes « adadas », qui courent vite, toute seule : elles ont des scratchs.
Papa caresse ma joue : un ptit câlinou. Il part, il m’aime, il me l’a dit !
Maman cherche ses clés et elle s’énerve, on est en retard ! Je prends mon doudou et ma susu : trop important !
Il est 7h05 houla, houlala : on a 5 mn de retard. On fonce, j’arrive à la garderie à 7h25. Maman m’embrasse tendrement 1 seconde. Elle m’aime : elle me l’a dit et elle est partie !
Je ne suis pas toute seule ! Non ! Il y a mes copains, mes copines mais on joue pas encore. On a pris nos doudous et susus. Je pleure pas : je suis grande, mais Maman me manque déjà, je suis sage.
Sophie me coiffe, Maman a oublié.
Sophie est gentille, elle me câline 1 seconde : il y a pas que moi.
Il est 8h20 : je vais en classe, la maîtresse est là. Je pose doudou et susu : j’en ai plus besoin parce que je suis grande. J’ai 3 ans !
Il y a des livres, des puzzles, le coin dînette, le coin poupée, les constructions… La maîtresse dit : « on range » : il est 8h40.
On va au regroupement et la maîtresse explique le programme, je me rappelle que de la fin.
Je suis un peu triste, mais pas le temps pour ça, on est 27 dans la classe et puis c’est l’heure du passage aux toilettes. On descend tous ensemble. Je passe devant mon sac -il y a doudou et ma susu dedans- mais non… je suis grande ! J’ai 3 ans !
Je donne la main, j’apprends vite, c’est bien, je cours pas dans le couloir. Sophie chante et sourit. Elle fronce les sourcils, on fait pipi, on ne joue pas avec l’eau, on boit si on a soif et on se lave les mains.
Allez….. on se dépêche ! On retourne en classe et je repasse encore devant doudou et susu. Maman me manque, mais non, je vais travailler, c’est la maîtresse qui l’a dit. Je vais faire l’atelier peinture avec Sophie, j’aime la peinture, mais pas longtemps parce qu’on est 6 à la table. On met les tabliers, on peint, on se lave les mains encore.
Il est 9h30 et la maîtresse dit : « on range » ! On va en motricité.
On se range, la salle est grande et j’ai envie de courir partout, mais non, on s’assoit et on écoute.
Il est 9h45 enfin et on fait les animaux : la grenouille, le kangourou, l’ours, le serpent…
C’est fini ! On met les vestes parce que c’est la récréation : il est 10 h ! La maîtresse dit « essaie de la mettre toute seule ». C’est dur, mais j’essaie : je suis grande, oui, j’ai 3 ans ! Sophie m’aide, elle est gentille !
Il est 10h10, je cours en récréation. Au milieu, je m’arrête, il y a tellement de monde. Je vois la maîtresse, 2 enfants par main, plus de place pour moi ! C’est pas grave, je vais la suivre, peut-être une place se libérera, Maman me manque.
Il est 10h30, la récréation est finie et la maîtresse, avec Sophie, tapent des mains. On se range, ça prend du temps, on apprend. La maîtresse crie, Sophie court pour récupérer les enfants qui n’ont pas compris je crois. Moi, je suis rangée, j’ai compris, je suis grande, on repasse aux toilettes et tout le tintouin …
Il est 10h45 Sophie s’en va manger, la maîtresse raconte une histoire, je suis fatiguée, je veux mon doudou et ma susu. Maman me manque de plus en plus.
Il est 11h15 ,Sophie revient : on repasse aux toilettes et tout le tintouin … Puis, on va à la cantine. On est 48 dans le réfectoire et ça fait un bruit énorme : je n’ai pas très faim, il y a de la salade ! Sophie dit : « on mange, on se dépêche ». Il y a le 2ème service, elle débarrasse la salade : ouf, je n’aime pas. Il y a des pâtes : génial ! Et des légumes dedans… Du rôti de bœuf : c’est dur, je mâche longtemps, les légumes dans les pâtes : je n’aime pas. Sophie dit « on goûte, c’est bon les légumes ! ». Elle débarrasse, ouf, enfin le dessert ! J’adore le dessert, c’est une pomme énorme. Sophie dit « allez, on croque, la peau c’est plein de vitamine ». Maman, elle enlève la peau et coupe des petits morceaux, mais on est trop nombreux ! Je suis fatiguée, je ne finis pas ma pomme : elle est trop grosse et trop dure aussi !
La cantine est finie et il est 12h15 ! On retourne dans la cour, Sophie est sur le banc, aujourd’hui j’ai une place à côté d’elle, elle me câline, j’en profite.
Il est 12h30. Sophie tape des mains : on va au dortoir, mais avant, on repasse aux toilettes et tout le tintouin…
Enfin, je retrouve mon doudou et ma susu. J’enlève mes « adadas » toute seule. Oui, elles ont des scratches : je l’ai déjà dit !
Le dortoir est chaud, j’ai mon lit toujours à la même place. Je rentre dans mes draps, Sophie tire les rideaux, met la musique, met les couvertures, allez, on se repose.
Sophie passe sa main dans mes cheveux et je peux dormir : il est 13h.
14h30 : Sophie ouvre les rideaux, « allez on se lève », j’ouvre les yeux, j’ai oublié que je suis à l’école. Je veux encore dormir et je serre mon doudou, il y a du bruit dans le couloir. Sophie aide les enfants pour mettre les chaussures, maîtresse vient dans le dortoir : « allez debout, on pose doudou et susu, on met les chaussures toute seule et on va faire pipi ».
Il est 14h45, je suis dans la cour, tout va trop vite autour de moi, ma maîtresse n’est pas dehors, ni Sophie. Des grands viennent me parler, j’ai un peu peur ! Maman me manque terriblement, mais moi aussi, je suis grande, alors j’attends.
Enfin 15h15, on tape des mains, on se range, toilettes et tout le tintouin.
15h30, retour dans la classe, activités autonomes, en gros, je fais ce que je veux sans bruit.
16h00, la maîtresse dit : « on range, on se regroupe, c’est bientôt l’heure ». Elle raconte une histoire, Sophie range et nettoie.
16h20, la maîtresse ouvre la porte, mon cœur bat la chamade. Elle appelle les enfants, mais moi… non ! Ma gorge se serre, je ne suis pas toute seule, Sophie nous prend dans ses bras. On va aller goûter et maman va bientôt arriver : je mange ma compote et mon biscuit.
La maîtresse est partie, Sophie nous laisse jouer sur les structures, j’aime bien. Je fais attention, je suis grande. J’ai 3 ans.
Il est 17h45, Maman arrive. Elle est là ! Mon cœur explose, c’est trop intense. Je me laisse enfin aller, je pleure dans ses bras. Elle m’a tellement manqué. Maman dit « tu es grande, ne pleure pas comme un bébé ! ». C’est vrai, je viens de passer plus de 10h sans toi !
Le temps de rentrer à la maison, il sera déjà 18h. Entre le bain, le repas et la petite histoire, nous aurons bien profité l’une de l’autre et si j’ai de la chance, je verrai peut-être papa avant de m’endormir à 20h30.
Mais tout ça n’a pas d’importance puisque j’ai 3 ans et que je suis grande et que je vais vivre jusqu’à 100 ans.
Texte : Sophie ATSEM membre du collectif indépendant ATSEM de France
Récolte du jour…
Quel plaisir de chausser les bottes dans la fraîcheur du matin et d’aller ramasser les noix. En ce moment, ce sont deux paniers par jour. Il y aura 2 ou 3 filets pour le voisinage. Je fais aussi le tour du potager, je récolte et Christine prépare soupes et confitures pour cet hiver. Les joies de la vie à la campagne ;)
Enfin, je saute une fois de plus du coq à l’âne
Pour rester dans l’esprit campagnard, avec un texte sans doute pas pour tout le monde, mais qui me tient à cœur. À ne lire que si vous vous intéressez à la situation géopolitique actuelle, à éviter si vous souhaitez rester dans la matrice…
Il n’y a plus de limite.
Il n’y a plus de ligne rouge.
Plus de seuil d’alerte.
Plus de “trop c’est trop”.
On a avalé l’humiliation, l’isolement, la piqûre, le QR code, le couvre-feu, les privations, les masques sur le visage des enfants, les cercueils sans adieux.
Et on a dit merci.
On a vu les soignants jetés comme des chiens.
Les pompiers, les militaires, les mères, les pères… radiés, virés, insultés.
On a regardé passer le train de la déshumanisation.
Et on n’a pas bougé.
On nous a imposé l’injection.
Et ceux qui ont dit non ont été traqués comme des pestiférés.
Aujourd’hui ?
Certains osent encore dire que c’était “pour le bien commun”… alors qu’on a juste sacrifié les plus courageux.
Et pendant qu’on enterrait notre dignité,
On a laissé crever nos anciens. (décret Rivotril)
On a gavé nos gamins de tablettes et de troubles mentaux.
On a remplacé la transmission par l’idéologie, la vérité par la propagande, l’autorité par la peur.
Mais il faut comprendre une chose :
Ce n’est pas un hasard.
C’est une méthodologie, une ingénierie sociale.
Ils ont injecté des micro-stress sociétaux, invisibles, absurdes, mais réguliers.
Des interdits.
Des contradictions.
Des humiliations.
Au début, c’était supportable.
Même ridicule.
Et puis les âmes et les corps s’y sont habitués.
À obéir.
À plier.
À se taire.
À trouver normal ce qui aurait été impensable cinq ans plus tôt.
La température a monté, lentement.
Comme dans l’expérience de la grenouille.
Et le stress est devenu chronique.
Systémique.
Notre capacité d’indignation a été anesthésiée.
C’est la fenêtre d’Overton, ouverte d’un petit cran, puis d’un autre…
Jusqu’à ce que l’impensable devienne banal.
Et le monstrueux, acceptable.
Ils ont utilisé Milgram, pour nous apprendre à obéir à l’autorité, même si elle fait souffrir.
Et Asch, pour que l’individu préfère avoir tort avec le groupe que raison tout seul.
On ne nous a pas seulement enchaînés.
On a redéfini la norme.
On a dressé les peuples à se soumettre.
Pour que jamais plus le mouton n’ait l’audace…
Ou même l’idée, de se révolter.
Le seuil de tolérance à l’inacceptable a explosé.
Et c’est précisément là qu’ils voulaient nous amener.
Dans cet état dans lequel plus rien ne choque,
Où l’on encaisse tout,
Parce qu’on a déjà tant perdu,
Qu’on ne sait même plus ce qu’on devrait défendre.
Et maintenant ?
Toutes les barrières ont déjà été franchies.
À tous les niveaux.
Éthique. Morale. Sanitaire. Éducative. Économique. Spirituelle.
La corruption n’a jamais été aussi étalée, jamais aussi impunie.
L’inversion des valeurs est totale.
Le mensonge est devenu vertu,
La vérité, délit.
La violence, solution.
Et la soumission, modèle.
Mais certains continuent de remercier l’État,
De se dire qu’on a de la chance d’être en France…
Alors que le pays agonise,
Vendu morceau par morceau,
À ceux qui ne savent ni ce qu’est la France,
Ni ce qu’est l’honneur.
Parce que leur projet finalement, ce n’est pas de « sauver le climat » comme ils disent, mais de vous enfermer dans des villes de 15 minutes, bref de vous contrôler comme du bétail dans des enclos à ciel ouvert. Il faut le savoir.
Le Secrétaire général de l’ONU s’est exprimé, et son message ne pourrait pas être plus clair.
António Guterres a déclaré que l’ère de la souveraineté nationale est un obstacle à sa vision de la « gouvernance mondiale ».
Dans son discours, António Guterres exprime son indignation face au fait que les nations osent poursuivre leurs propres intérêts – la définition même du devoir d’un État souverain envers son peuple. Il présente cela comme un effondrement des « normes mondiales », une crise de confiance que seul un système mondial centralisé et réformé peut résoudre. Les institutions construites par nos grands-parents, affirme-t-il, sont désuètes.
Mais que dit-il vraiment ?
Il dit que l’État-nation indépendant et égoïste est un problème à gérer. Il plaide pour un transfert fondamental du pouvoir des États-nations vers des organismes mondiaux non élus et non responsables. Le soi-disant « Sommet du futur » n’est pas une question de coopération ; C’est une feuille de route pour un contrôle supranational, habillée dans le langage de « l’égalité » et de la « solidarité ». Agenda 2030.
La vision de Guterres est le rêve mondialiste ultime : un monde dans lequel les lois et les frontières de votre pays sont subordonnées à un cadre « actualisé » dicté par l’ONU. Il ne s’agit pas de construire un monde plus sûr ; il s’agit de démanteler les derniers vestiges de l’autodétermination nationale au nom d’un « avenir partagé » pour lequel personne n’a voté. Le masque est tombé. La pression en faveur d’un gouvernement mondial est maintenant explicite.
Discours complet de Donald J. Trump à l’ONU – 23 septembre 2025 – Sous-titré français (durée 55 min)
Ceux qui sont conscients de la guerre contre les peuples qui nous est menée, (mensonges, censure, propagande, ingénierie sociale…) savent qu’il s’agit aussi d’une lutte entre le bien et le mal. Si beaucoup de vérités sortent en ce moment aux États-Unis devant le congrès (autisme et vaccins, COV-19, Big Pharma, 11 septembre, Epstein, corruption, etc…), je crains que chez nous, nous ayons encore quelques années difficiles ! Je termine toutefois par cette note d’espoir : À la fin, la lumière gagne toujours sur les ténèbres ! Certains disent même que Dieu gagne… Je veux y croire.
Je vous souhaite un bel automne !
RDV le mois prochain. D’ici là, portez-vous bien et faites de belles photos.
Bien amicalement,
Les plus belles photos de Nature Photographie
Maintenant, vous avez deux options :
Retourner dans le monde cruel ou rester sur Nature Photographie.

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